viernes, 11 de marzo de 2011

Cursos específicos de francés Santé et Environnement impartidos por el profesor Pedro Cuenca. Exposiciones orales de los alumnos participantes (I).

Alumna: Asun Navarro (Curso académico 2010-2011)

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Jornadas de cine francés los próximos días 22 y 23 de marzo.

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Synopsis : Germain, 45 ans, quasi analphabète, vit sa petite vie tranquille entre ses potes de bistrot, sa copine Annette, le parc où il va compter les pigeons et le jardin potager qu'il a planté derrière sa caravane, elle-même installée au fond du jardin de sa mère, avec laquelle les rapports sont très conflictuels. Il n'a pas connu son père, sa mère s'est retrouvée enceinte de lui sans l'avoir voulu, et le lui a bien fait sentir depuis qu'il est petit, à l'école primaire son instituteur l'a vite pris en grippe, il n'a jamais été cultivé, il est resté " en friche ". Un jour, au parc, il fait la connaissance de Margueritte, une très vieille dame, ancienne chercheuse en agronomie, qui a voyagé dans le monde entier et qui a passé sa vie à lire. Elle vit seule, à présent, en maison de retraite. Et elle aussi, elle compte les pigeons. Entre Germain et Margueritte va naître une vraie tendresse, une histoire d'amour " petit-filial ", et un véritable échange...

Mardi 22 mars
Séances : à 16: 00h (Sala de conferencias)
à 18: 00h (Salón de actos)
Mercredi 23 mars
Séances: à 12: 00h (Salón de actos)
à 16: 00h (Salón de actos)
à 18: 00h (Salón de actos)
V.O. (sous-titres en français)

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Synopsis : Votre fille sort avec un sale type ? Votre soeur s'est enlisée dans une relation passionnelle destructrice ? Aujourd'hui, il existe une solution radicale, elle s'appelle Alex. Son métier : briseur de couple professionnel. Sa méthode : la séduction. Sa mission : transformer n'importe quel petit ami en ex. Mais Alex a une éthique, il ne s'attaque qu'aux couples dont la femme est malheureuse. Alors pourquoi accepter de briser un couple épanoui de riches trentenaires qui se marie dans une semaine?

Mardi 22 mars
Séances: à 09: 00h (Salón de actos)
à 14: 00h (Sala de conferencias)
à 18: 30h (Sala de conferencias)
V.O. (sous-titres en français)

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Synopsis : Lucien Paumelle a toujours eu des convictions fortes. Médecin retraité, il reste un homme d'action, réputé pour son implication dans de nombreuses causes
humanitaires. Son engagement le conduit jusqu'au mariage blanc avec
une jeune femme moldave, Tatiana, pour lui éviter l'expulsion. Mais ses enfants, Babette et Arnaud, s'aperçoivent rapidement que le comportement de leur père n'a plus
grand-chose à voir avec les principes qu'il a toujours prônés : malgré ses 80 ans, Lucien aurait-il succombé au charme de sa flamboyante épouse ? Tandis que Tatiana et sa fille prennent leurs marques chez les Paumelle, le chaos s'installe dans le quotidien de Babette et Arnaud. Bientôt, ce sont toutes les relations familiales qui sont à redéfinir...

Mardi 22 mars
Séances : à 12: 00h (Salón de actos)
Mercredi 23 mars
Séances : à 13: 00h (Sala de grabación)
à 16: 00h (Sala de grabación)
V.O. (sous-titres en français)

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Synopsis : Dino Fabrizzi est le vendeur numéro un de la concession Maserati de Nice. A 42 ans, il arrive à un tournant de sa vie, le poste de directeur lui est ouvertement proposé et sa compagne depuis un an, Hélène, a la ferme intention de l'épouser. Pour Dino, la vie est belle, sauf que cette vie parfaite s'est construite sur un mensonge. Dino s'appelle en fait Mourad Ben Saoud. Ni son patron, ni Hélène et encore moins ses
parents ne sont au courant de cette fausse identité... Dans dix jours débute le ramadan et Mourad qui passe outre tous les ans devra cette fois assumer la promesse
faite à son père malade. Faire le ramadan à sa place...
Pour Dino, l'italien, cela ne va pas être simple.

Mardi 22 mars Séance:

à 16: 00h (Salón de actos)

Mardi 23 mars Séances :

à 09: 00h (Salón de actos)

à 14: 00h (Sala de conferencias)
à 18: 30h (Salón de actos)
V.O. (sous-titres en français)

jueves, 10 de marzo de 2011

Nos conocimos en enero. Francés (III). Donde habite el olvido.

 
Nous nous sommes rencontrés en janvier et le 14 avril nous sommes des inconnus. Elle pose une question : « Comment tu t’appelles ? » et je lui réponds : « Etienne ». J’attends une seconde, deux, trois… J’attends qu’elle trouve un lieu dans sa mémoire dans lequel mon prénom ne soit pas inconnu. Mais il n’y a pas de réponse. Il y a 50 ans de ce mois-là de janvier. C’est très longtemps. Elle ne s’en souvienne pas. Je demande que-est ce qu’advient dans les labyrinthes de sa mémoire. Avril est un mois cruel pour l’oubli.
Nous nous sommes rencontrés en janvier et le 15 avril nous sommes des inconnus. Elle pose une question : « Comment tu t’appelles ? » et je lui réponds : « Etienne ». J’attends une seconde, deux, trois… Mais ce jour-ci, quand elle se tourne, j’ajoute murmurant : « Je m’appelle Etienne et je suis ton mari ». 
 
TRADUCCIÓN
Nos conocimos en enero y el 14 de abril somos desconocidos. Ella me hace una pregunta: “¿Cuál era tu nombre?” y yo le respondo: “Esteban”. Espero un segundo, dos, tres,… Espero que ella encuentre un lugar en su memoria en el que mi nombre no le sea desconocido. Pero no hay respuesta. Han pasado 50 años de aquel mes de enero. Es mucho tiempo. Ella no lo recuerda. Me pregunto que sucede en los laberintos de su memoria. Abril es un mes cruel para el olvido.
Nos conocimos en enero y el 15 de abril somos desconocidos. Ella me hace una pregunta: “¿Cuál era tu nombre?” y yo respondo: “Esteban”. Espero un segundo, dos, tres,… Pero este día, cuando ella se da la vuelta, añado susurrando: “me llamo Esteban y soy tu marido”.

Marta Alcolea Gracia. Francés. 1º Intermedio.

Nos conocimos en enero. Español para extranjeros (I).

Nos conocimos en enero, y el 14 de abril quisimos hacer una excursión
por España.
Para empezar, decidimos que iríamos por Aragón a sitios tan famosos
como el Parque Nacional de Ordesa, fundado en 1918, donde hay cascadas
y cuestas alpinas.
En Zaragoza visitaríamos el Palacio de la Aljafería y el Museo de
Goya. En Teruel miraríamos la arquitectura de estilo Mudéjar. Y en
Huesca disfrutaríamos de las construcciones de la Edad Media y también
aprovecharíamos para ver una fiesta en un pueblo y para escuchar Jotas
y bailes folklóricos. Después iríamos a la capital de España - Madrid. Allí visitaríamos Museo del Prado, Museo de la Reina Sofía y el Palacio Real.
Y por fin, sin duda, a Castilla para ver orígenes de Don Quijote y los
famosos molinos conocidos por toda nuestra compañía, donde hay gente
de diferentes países.
La excursión promete ser fascinante!

Мы познакомились в январе, и 14 апреля захотели зделать экскурсию по Испании.
Для начала решили, что поехали б по Арагону по местам таким известным
как национальный парк Ордеса, основан в 1918 году, где есть водопады и
альпийские склоны.
В Сарагосе навестили б палац Алхаферия и музей Гоя. В Теруэле
посмотрели б архитектуру в стиле мудехар. И в Уэске насладились б
постройками Среднего века, и также посмотрим праздник в селе и
послушаем хоту и танци фольклерные.
Потом поехали б в столицу Испании Мадрид. Там посетили б музей Прадо,
музей королевы Софии и Королевский палац.
И наконец, без сомнения,  в Кастилию, что б увидеть родину дон Кихота
и известные мельници, которые знает вся наша компания где есть люди с
разных стран.
Экскурсия обещает быть захватывающей!

Alina Bodnar

Nos conocimos en enero. Italiano (VI).

Ci siamo conosciuti a gennaio e, il 14 aprile hai voluto uccidermi. Non volevi lasciarmi crescere; ti piacevo così. Non volevi vedermi invecchiare perché amavi le mie giovani gambe salate, la mia pancetta, il mio collo, le mie labbra e anche le mie orecchie.
Grazie a Dio sei diventato vegetariano.
Firmato: il maiale Babe.

Traducción
Nos conocimos en enero, y el 14 de abril quisiste matarme. No querías dejarme crecer; te gustaba tal y como era. No querías verme envejecer porque amabas mis jóvenes piernas saladas, mi tripita, mi cuello, mis labios e incluso mis
orejas. Gracias a dios te hiciste vegetariano.
Firmado: el cerdo Babe.

Juan Mateo Perrote

Nos conocimos en enero. Italiano (V)

Ci siamo conosciuti a gennaio, e il 14 aprile, purtroppo, ci siamo visti per l’ultima volta. Anche tu mi manchi, pensavo che ti fossi perso tra la moltitudine e mi ero rassegnato a recuperarti; a oggi capita.

La mia vita è cambiata. All'improvviso mi sono circondato da persone, che quando parlavo, non riuscivano a capire quasi nulla. Comunque, io continuavo a cercare...a cercarti tra le notti, tra i giorni...fino a quando ho ricevuto le tue parole e il mio cuore è saltato un'altra volta. Pensavo che quando sei in un luogo diverso con persone diverse...la tua fortuna cambia...ma amica...non mi rendevo conto che io ero la stessa persona. La mia fortuna mi ha seguito.

Traducción
Nos conocimos en enero, y el 14 de abril, por desgracia, nos vimos por última vez. Yo también te echo de menos, pensaba que te había perdido entre la multitud y me había resignado a recuperarte; sucede en estos tiempos.

Mi vida cambió. De repente me vi rodeado de gente, que cuando hablaba, no entendían apenas nada. Pero yo seguía buscando...buscándote en las noches,en los días...hasta que recibí palabras tuyas y mi corazón volvió a dar un salto.
Pensaba que cuando te ubicas en un sitio diferente con gente diferente...tu suerte cambia...pero amiga...no me di cuenta de que yo era el mismo. Mi suerte seguía a mi lado.

Juan Mateo Perrote

Nos conocimos en enero. Francés (II). Por el humo se sabe dónde está la A.A.P.

L’Assemblée générale

Nous nous sommes rencontrés en janvier, et le 14 avril nous avions déjà réussi à rassembler plus de cinq cents personnes dans une seule association, l’A.A.P.

Ce jour-là, il aurait lieu la première Assemblée générale: nous, le Conseil d’administration, voulions faire les présentantions et expliquer les buts, outre les comptes. C’est-à-dire, ce qu’il y a d’habituel dans toute association légale, bien que celle-ci ne le fût pas du tout. Pour cela, nous sommes parvenus à convaincre des connaissances, les propriétaires d’un cinéma, de nous le prêter. Nous l’avions déjà obtenu, et tout était tellement organisé, si en détail, qu’on ne pouvait pas échouer.

Le matin, à huit heures pile du 14 avril nous étions là; à neuf heures moins le quart il y avait dehors, à la rue, trois cents personnes, à peu près, en attendant. C’est alors que l’incendie a éclaté à l’intérieur du cinéma, en se répandant avec une grande rapidité. La moquette et les fauteils d’orchestre brûlaient brutalement. L’entier bâtiment était en flammes! Heureusement, pas une seule personne est morte, mais l’assemblée, évidentement, étant données les circonstances, n’a pas eu lieu.

Malgré le malheur, on pouvait dire qu’on avait eu du succès, pour mieux dire, d’un grand succès: la signification de l’A.A.P. n’était pas d’autre que “Association Aragonaise de Pyromanes”!

La Asamblea general

Nos conocimos en enero, y el 14 de abril ya habíamos conseguido reunir a más de quinientas personas en una misma asociación, la A.A.P.

Ese día, tendría lugar la primera Asamblea general: los de la Junta directiva queríamos presentarnos y explicar los objetivos, además de las cuentas. Vaya, lo normal en cualquier asociación legal, aunque ésta no lo fuese precisamente. Para ello, conseguimos convencer a unos conocidos, los propietarios de un cine, para que nos lo prestaran. Ya lo habíamos conseguido, y todo estaba tan organizado, con tanto detalle, que no podíamos fracasar.

A las ocho de la mañana del 14 de abril allí estábamos como un clavo; a las nueve menos cuarto ya había afuera, en la calle, unas trescientas personas esperando. Fue entonces cuando estalló el incendio en el interior del cine, propagándose con gran rapidez. La moqueta y las butacas de la sala ardían brutalmente. ¡El edificio, al completo, ardía en llamas! Afortunadamente, no murió ni una sola persona, pero la asamblea, obviamente, dadas las circunstancias, no tuvo lugar.

A pesar de la desgracia, podíamos decir que habíamos tenido éxito, es más, un gran éxito: el significado de la A.A.P. no era otro que “Asociación Aragonesa de Pirómanos”.

Mónica Pascual Puedo

Certificado Elemental de Francés, 2000.

Nos conocimos en enero. Italiano (IV). Ojos que bailan, manos que miran.

Ci siamo conosciuti a gennaio e il 14 aprile continuiamo a conoscerci.

Ci siamo conosciuti a gennaio, lo ricorderò tutta la mia vita perché faceva un freddo cane e l’aria si infiltrava tra i miei vestiti. Anche perché la settimana prima la Befana è stata da me, che fortuna!! L’anno scorso si è dovuta perdere perché non ha trovato la mia casa.

Sarà stato verso le 19 ore e io arrivavo in ritardo alla mia prima lezione di ballo. Ero molto imbarazzata perché andavo da sola, senza una coppia, ma subito dopo che sono entrata in classe ci siamo scambiati uno sguardo. Un ragazzo dallo sguardo profondo e la faccia tenera. Siamo stati ipnotizzati per 30 secondi che ci sono sembrati diversi minuti, finché la musica ci ha svegliato.

Sono stata fortunata ad essere la sua coppia di ballo e dico fortunata perché da allora le nostre mani sono legate insieme, legate per il ballo e l’amore, perché l’amore è la danza della vita, della nostra vita.

Ci siamo conosciuti a gennaio e oggi, 14 aprile, continuiamo a ballare  e conoscendoci.

Traducción:

Nos conocimos en Enero y el 14 de Abril continuamos conociéndonos.

Nos conocimos en Enero, lo recordaré toda la vida porque hacía muchísimo frío y el aire se colaba entre mi ropa. También porque la semana pasada habían pasado “los Reyes Magos” (en España) por mi casa, ¡qué suerte!, el año pasado se debieron perder porque no encontraron mi casa.

Serían sobre las 19 horas y yo llegaba tarde a mi primera clase de baile. Me daba mucha vergüenza porque iba sola, sin pareja, pero nada más entrar en clase me crucé son su mirada. Un chico de mirada profunda y carita tierna. Nos quedamos hipnotizados durante 30 segundos que parecieron minutos, hasta que la música nos despertó.

Tuve la suerte de ser su pareja de baile y digo suerte porque desde entonces nuestras manos siguen unidas, unidas por el baile y el amor, porque el amor es la danza de la vida, de nuestra vida.

Nos conocimos en Enero y hoy, 14 de Abril, seguimos bailando y conociéndonos.

Carolina Pérez Velilla

miércoles, 9 de marzo de 2011

Nos conocimos enero. Sección de micronarraciones fuera de concurso. Pelillos -de bozo- a la mar y un traguito de Fierabrás N. 5

El jefe del dpto. de español publica en el blog de su dpto. la siguiente narración, precedida de una nota que también reproduzco. La micronarración se publica por alusiones, pero no entra en concurso por diversos motivos que huelga detallar:

NOTA: He decidido unilateralmente que, como el jefe del blog enemigo no nos deja participar en su concurso de microrrelatos, voy a hacerlo en la cantidad que yo quiera y cuantas veces quiera, con el fin de quitarme el regusto amargo de la impotencia de concursar. No quería guerra, ¡toma guerra psicológica!

Nos conocimos en enero, y el 14 de abril… salimos finalmente de la habitación del hotel en Copacabana.

A cualquiera que me pregunte sobre ti, no sabré qué decirle, pues apenas recuerdo tu rostro marcado por señales de viruela, ni precisar el tono de tus ojos amarillentos, ni siquiera puntualizar qué dientes eran los que aún permanecían en su sitio, presagiando la profundidad de tu boca, que sostenía –como en un sobretechado- una cierta pelusilla en el labio superior, áspera y negruzca.

Nunca podré decir qué fue lo que me atrajo de ti y me hizo estar pendiente de cada uno de tus movimientos –un poco ariscos por la rigidez que te había dejado el accidente aquel de moto del que me hablaste al oído. Sólo recuerdo que aquella botella de ron que sujetabas de tu mano, huesuda y angulosa, fue el bálsamo de Fierabrás, el hidromiel, el agua de vida que me devolvió a la realidad y me llevó con algún traspiés a la habitación del hotel, de donde salimos finalmente y casi a la fuerza para que pudieran terminar de dinamitar el edificio en ruinas.

An arco

Paredondelenguas. Un comentario a la expo de Kumiko Fujimura

lastscan

martes, 8 de marzo de 2011

Nos conocimos en enero. Inglés (I).Quien pierde la mañana pierde el día.

 

The Big Work

We met in January, and on the 14th April we had already committed six crimes. Our hands were dirty, but we weren’t being beset by feelings of remorse. An indefinable emotion was taking hold of us little by little; we were taking a liking to such an outstanding mission.

The complete mankind could get to be in our hands if we didn’t make any mistake. In fact, we couldn’t afford any mistake because that would mean our end!

We were the first serial killer partners, and the fact of acting in pair added a touch of bigger brutality to our murders, whose result was much more amazing and horrific than that of those crimes committed by any lonely serial killer.

So, that day, April 14th, was the definitive day to improve, even to perfect, the Big Work: we would murder the BBVA President.

There was just one mistake, a simple human error, though: we forgot to put on the alarm clock. We overslept and missed out on the chance of our life... and BBVA kept on earning money and money at the everybody’s expense.

La Gran Obra

Nos conocimos en enero, y el 14 de abril ya habíamos cometido seis crímenes. Teníamos las manos sucias, pero no sentíamos el menor remordimiento. Una indefinible emoción se apoderaba de nosotros poco a poco; le estábamos cogiendo el gustillo a una misión tan relevante como ésta.

La humanidad al completo podía llegar a estar en nuestras manos si no cometíamos ningún error. De hecho, ¡no podíamos permitirnos ningún error porque eso significaría nuestro fin!

Éramos la primera pareja de asesinos en serie, y el hecho de actuar en pareja confería un toque de mayor brutalidad a nuestros asesinatos, cuyo resultado era mucho más impresionante y terrorífico que el de los crímenes cometidos por cualquier asesino en serie solitario.

Así pues, ese día, el 14 de abril, era el día definitivo para mejorar, incluso perfeccionar, la Gran Obra: asesinaríamos al Presidente del BBVA.

Sin embargo, hubo un solo error, un simple fallo humano: olvidamos poner el despertador. Nos quedamos dormidos y perdimos la gran oportunidad de nuestra vida… y el BBVA continuó ganando dinero y más dinero a costa de todo el mundo.

Mónica Pascual Pueyo

2º Intermedio Inglés

lunes, 7 de marzo de 2011

8 de marzo, día internacional de la mujer trabajadora

Pillada artístico familiar. Una tarde de sábado, como tantas, yendo de exposiciones al Reina Sofía.

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La biblioteca se suma al Día de la mujer

   ELLAS TAMBIÉN CUENTAN!!!

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    Lee esta semana un libro de

         literatura feminista

El Dpto. ha organizado, por su parte, otro acto de celebración.

La versión aserejada en itagnolo del romance del sultán Berluscón

Hace unos días nos hacíamos eco otra parodia de esta casposa historia. He aquí una versión más cercana:

Nos conocimos en enero. Italiano (III).

L’amore per la o nella scultura?

C’eravamo conosciuti a gennaio ed il 14 aprile, finalmente, fu inaugurata la mia mostra al MOMA, a New York. Quel giorno ci si radunarono al museo dei politici, che non s’intendevano un cazzo d’arte; dei critici d’arte, che se ne intendevano ancora di meno; dei moderni e postmoderni, i quali c’erano giunti non per vedere ma per farsi vedere; qualche amico che aveva viaggiato fino alla metropoli dei sogni per rendermi supporto e, per ultimo, c’era l’alta società di Manhattan.

Nessuno capì un cavolo della mostra, ma tutti furono d’accordo su quale, tra tutte le opere, fosse il mio capolavoro: una bella scultura che rappresentava la tua perfetta figura. Essa era stata fatta in diverse materie: dal bronzo alla pietra, dal ferro al cemento.

Tutti quanti erano lì a guardarla meravigliati; tra i quali, i miei amici, che non smettevano di chiedere dov’eri, dicendomi: Ma dov’è Luigi? Come mai non è venuto? Ma se lui si strugge d’amore per te!

E la risposta, con uno strano sorriso al mio viso, era sempre la stessa: Non preoccupatevi, calmi. Non ve ne rendete conto? Lui è oggi più presente che mai!

¿El amor por la o en la escultura?

Nos habíamos conocido en enero y el 14 de abril, por fin, se inaguró mi exposición en el MOMA de Nueva York. Aquel día, en el museo, se congregaron políticos, que no entendían una mierda de arte; críticos de arte, que aún entendían menos; modernos y postmodernos, que habían llegado hasta allí no para ver sino para ser vistos; algún amigo que había viajado hasta la metrópolis de los sueños para apoyarme y, por último, estaba la alta sociedad de Manhattan.

Nadie entendió un pimiento de la exposición, pero todos estuvieron de acuerdo en cuál, entre todas las obras, era mi obra maestra: una bonita escultura que representaba tu perfecta figura. Ésta había sido hecha con diferentes materiales: desde el bronce hasta la piedra, del hierro al cemento.

Allí estaban todos los presentes mirándola con la boca abierta; entre los cuales, mis amigos, que no cesaban de preguntar dónde estabas, diciéndome: ¿Pero dónde está Luis?¿Cómo es que no ha venido?¡Pero si bebe los vientos por ti!

Y mi respuesta, con una extraña sonrisa en la cara, era siempre la misma: No os preocupéis, calmaos. ¿Es que no os dais cuenta? ¡Hoy está más presente que nunca!

Mónica Pascual Pueyo

Certificado de Aptitud en Italiano, 1991.